Think out of the Box, le Maroc Engage des Boites Extérieures pour une Modernisation Subcapitaliste et Développement Extraverti

Said El Mansour Cherkaoui · February 28, 2021  

Téléguidage des Compagnies Internationales de Consulting et Orientation Développementaliste Subcapitaliste du Maroc

Quand une modernisation est extravertie et d’orientation importée, elle devient un instrument de débrayage et de positionnement de l’économie marocaine dans une sphère subcapitaliste. Cette modernisation est donc stimulée de l’extérieur et elle réponds aux besoins de l’extérieur et ne participe nullement dans l’essor ou le développement national, régional et local.

Malgré tous les élans de construire une modernité depuis 1956, le Maroc importe et imite seulement le laisser-pour-compte, ce qui est dépassé, et ce qui cherche seulement une rentabilité supplémentaire ou qui n’est plus réalisable ou bien subit une continuelle dégradation du taux de profit en Europe.

La Modernité actuelle du Maroc est basée sur le Cloning – Imitation a court terme, le recyclage de ce qui est sur la sellette, et la consommation des produits de prestige issu d’une exposition culturelle et d’effet de démonstration de la mode éphémère et élitiste.

Le Maroc se trouve ainsi l’otage des grandes maisons internationales de Consulting qui pénètrent les sphères de la décision nationale et les institutions ou se finalisent les allocations financières et budgétaires.   Ce positionnement stratégique d’ordre martial se traduit par la conquête de la pensée, la soumission de l’intelligence, la domination de la matière grise, l’usurpation de l’innovation, la neutralisation de la créativité, la marginalisation des initiatives qui expriment des projections ou des objectifs nationaux.

L’omniprésence des courtiers, des lobbyistes, des Chevaux de Troie et des envahisseurs de la sphère de la decision nationale maintien le Maroc dans une relation de suivisme qui fut inaugurée par les recommandations des institutions financières internationales tel que la Banque Mondiale, le Fonds Monétaire Internationale et leur équivalent de par les Etats Unis et l’Europe Occidentale. Ces organisations financières et bancaires faisaient dépendre l’octroi de crédit et le financement de projets de “soi-disant” de développement économique dans les pays tiers a une conditionnalite non négociable, a prendre ou a laisser suivi d’uns sorte d'”essaimage des abeilles” a travers l’atterrissage et le parachutage au Maroc d’une 5eme Colonne de conseillers, de consultants, d’experts et de technocrates qui deviennent les formateurs des bureaucrates locaux et les producteurs des plans de correction, de la planification de développement.

Alors que je conduisais une recherche sur le Brésil avec les conseils de Celso Furtado a Paris,

Le paradoxe c’est que tous ces Experts se feront payer des sommes faramineuses extraites des nouveaux emprunts accordées au Maroc, alors qu’ils allaient recommander aux responsables marocains de réduire les dépenses du Maroc, coupant ainsi la branche sur laquelle siège leurs prétendue compétences.

Ces experts délégués comme des éclaireurs pour les intérêts étrangers préconisent même des stratégies de resserrement de la Ceinture – Tight Belt Policy, a savoir la réduction des allocations budgétaires et l’étranglement des services sociaux. Neutralisant l’essor de bases sociales pour le pouvoir en place, le rendant vulnérable a toutes les manifestations sociales, tel que les Révoltes pour le Pain, le déclenchement du soi-disant “Printemps Arabe” dans les pays non-soumis directement aux intérêts des puissances étrangères dominantes qui avec le temps ont été démontré qu’ils furent tous sans exception, le résultat de ces manipulations et celles venant des interférences des actions secrètes et couvertes menées par des services secrets de plusieurs pays occidentaux et leurs alliés régionaux.


La rentabilité, le profit, la remise et le renvoi des profits réalisées par les entreprises étrangères a leur siège social international et le règlement du service de la dette deviennent les cibles et les priorités de toute politique monétaire, financière, budgétaire et de commerce international ainsi que de développement national.

Ces grandes maisons internationales de Consulting entreprennent des livraisons à domicile services du catering des recettes fait-maison qu’elles enveloppent dans un paquet de mesures et de Business Model se présentant comme la meilleure recette pour l’amélioration de la compétitivité et du développement économique et social de la région, du pays ou de l’industrie.  Ces recettes sont des recettes génériques proposées a toutes les nations du Sud dans le même moule seule le contenu à verser dans le moule est différé, à savoir, soit du béton armé, du plâtre, de l’argile, du papier mâché ou du ciment ou même la farine comme poudre aux yeux. 

Ces services offerts par ces Consulting Firms se présentent comme des actions correctives du développement et de la croissance économique ou de correction des tendances opérationnelles et administratives.  Autres formes de présentation,  c’est des évaluations et des études de faisabilité qui prétendent être porteuses d’un meilleur rendement ou d’une meilleure rentabilité ou même d’une exploitation plus profitable des potentialités existantes qui en fin de compte ne sont en définitive que des moyens et des subterfuges pour s’accaparer des contrats faramineux et orienter les décisions des responsables et des ministres Marocain/es vers les domaines, les secteurs et les productions ou ces mêmes maisons internationales de Consulting possèdent des contacts et avec qui ils entretiennent une relation de clientèle.   

Le succès de McKinsey à cultiver des clients gouvernementaux pendant la pandémie est, à bien des égards, la réalisation d’une mission de 70 ans. C’est dans les années 1950 que l’entreprise a commencé à faire valoir que les hommes d’affaires devaient supplanter les fonctionnaires, en particulier dans les postes de direction chargés de mettre la politique en pratique. Le discours était intéressé mais bien calibré pour séduire pendant la guerre froide : la « société de libre entreprise » des États-Unis « dicte que l’industrie devrait se voir accorder un rôle aussi étendu que possible », écrivait McKinsey dans un rapport de 1960 au tout jeune National Administration de l’aéronautique et de l’espace. Lire la suite

Comme on dit, “on n’est jamais mieux servi que par soi-même.

L’AUTRE ETUDE RÉCENTE DE CAS DU MAROC TOMBANT DANS LE PANNEAU DES GRANDES FIRMES DE CONSULTING TELLE QUE MCKINSEY

Réda Dalil • 2nd Rédacteur en chef chez TelQue • 

McKinsey, BCG, Roland Berger, Bain, Southbridge A&I, Capital Consulting ou Valyans, depuis 20 ans, l’incursion des grands cabinets au cœur de l’État n’a cessé de s’accentuer. La consultomania sonne-t-elle le glas de l’indépendance de la décision publique  ? Le Maroc a-t-il entièrement sous-traité sa matière grise ?


Exclusif Affaire McKinsey : En Marche rattrapé par ses consultants

Un… procès, mais lequel ?

Sur le terrain électoral, l’auto-saisine du PNF suite au rapport du 16 mars de la commission sénatoriale (et aussi au contrôle fiscal en cours) a apporté de l’eau au moulin des concurrents du favori. Depuis plusieurs jours, c’est un tir groupé continu contre le gouvernement et le président sortant.

Dans cette affaire McKinsey, celle plus largement du poids et de l’influence des cabinets de conseil dans la définition des politiques publiques, les amis et supporters du candidat Macron crient au procès politique.


Ces Consulting servent ainsi de courroie de transmission entre les grands groupes internationaux, les Etats Occidentaux et les organisations internationales de crédit et de finance et les Hommes d’États qui comme le Maroc deviennent des clients et un autre espace de demandes pour leurs services et leurs produits ainsi que pour leurs investissements à sens unique.   Ces mêmes Consulting Firms servent ainsi comme des “chevaux de Troie” pour leur propre intérêt et comme une brigade d’intervention qui aplanit le terrain et prépare l’atterrissage de la Grand Armada formée de compagnies étrangères.  

Pont vers l’Europe, Porte vers l’Afrique et Porte de la Méditerranée

Portail de la Méditerranée et Fenêtre sur l’Atlantique.

Pour en savoir plus Maroc – http://www. invest.gov.ma/?Id=10&lang=fr

Au départ, il y a eu le Plan Émergence, initié à la suite d’une étude du cabinet McKinsey commanditée par mandat au sein du Portefeuille Industrie (2004-2007).

Ahmed Réda Chami, a tenté de donner corps à un Pacte National d’Émergence Industrielle, une stratégie centrée sur les secteurs dans lesquels le Maroc est compétitif grâce à sa main d’oeuvre bon marché. Puis est venu le Plan d’accélération industrielle (PAI), lancé en grande pompe en 2014 par Moulay Hafid Elalamy, quelques mois après son arrivée à la tête du ministère de l’Industrie.

Cluster pour l’Automobile Plateforme de déploiement de la gamme input
L’usine Renault de Tanger est dédiée à la production des modèles Lodgy et Dokker, de l’emboutissage à l’assemblage en passant par la tôlerie et la peinture. Le projet est situé sur 300 hectares avec tous les services publics avec une capacité de véhicules à bas prix. Le véhicule de la famille Logdy, dernier-né de Dacia, la branche « low-cost » du groupe Renault, sera fabriqué dans cette nouvelle usine.

Destiné en priorité aux marchés émergents, il sera également commercialisé en Europe. Cette unité, profitant du faible coût de la main-d’œuvre, pourrait créer 6 000 emplois directs et 30 000 emplois indirects dans le nord du Maroc. Des fournisseurs ou sous-traitants de premier plan sont déjà implantés dans la zone franche d’exportation, située face à l’Espagne.

Cette unité bénéficie d’une exonération fiscale pour les entreprises pendant cinq ans, d’un dégrèvement de TVA, d’aides à la formation, d’aides financières à la construction.

Selon diverses sources, la structure de coûts de ce projet est de 1,1 milliard d’euros engagés en deux tranches, dont les fonds propres, fonds propres et comptes courants s’élèvent à 240 millions d’euros, divisés respectivement à 51% et 51%. 49 % entre Renault-Nissan (France) et Caisse de Dépôt et de Gestion (CDG – Maroc). La contribution financière de Renault est donc de 122,4 millions d’euros, tandis que 117,6 millions d’euros proviennent de CDG, contribuant à 11,12 % du montant total de 1,1 milliard d’euros. euros, tandis que pour Renault, l’essentiel reste son apport en technologie et en savoir-faire. Le fonds Hassan II est l’un des plus gros contributeurs à ce projet avec un investissement de 200 millions d’euros sous la forme d’un prêt à taux bonifié à Renault. Trois autres banques marocaines, Attijariwafa Bank, le Groupe Banque Populaire et la BMCE, ont apporté un financement de 105 millions d’euros, avec une participation à parts égales sur le volet projet en équipements d’infrastructures et génie civil.

Ces banques financent également les autres installations de sous-traitance qui sont constituées d’environ 80 entreprises afin de fournir des pièces de rechange pour la production de voitures par Renault ainsi que pour l’exportation vers d’autres sites Renault en Europe et en Europe. ailleurs. Dans la structuration de ce financement, l’Etat marocain s’engage à travers une contribution directe de 95 millions d’euros, (plus d’un milliard de dirhams), sur le montant total de la première tranche de l’investissement. Ce montant a été réalisé au niveau des subventions de l’Etat marocain sous forme de terrains aménagés hors site de plusieurs hectares.

Parmi ces interventions financières de l’Etat marocain concernent directement le développement infrastructurel et logistique tel que la construction de voies ferrées et de routes par l’ONCF et l’ONEP conçu pour les besoins du transport des voitures destinées à l’exportation à travers notamment le nouveau port de Tanger Med. Cette synergie est en réalité à la charge de l’Etat marocain qui finance directement l’équipement des nouvelles installations de stockage et de stationnement ainsi que la construction de môles portuaires tel que Tanger Med où toutes les infrastructures portuaires sont mises à la disposition du projet ainsi comme un espace de stockage de plusieurs hectares réservé sur le port pour garer les voitures en attente d’exportation.

La deuxième tranche est d’environ 460 millions d’euros (plus de 5 milliards de dirhams) et a été réservée au moyen d’un financement partiel sous forme d’encaissements de trésorerie – cash-flow libre et jusqu’à 40% à 60% par endettement.

Les intérêts de Renault au Maroc sont principalement constitués par la volonté de consolider le contrôle du marché automobile marocain et par les opportunités uniques qu’offre l’opération de Tanger. Renault est actuellement l’entreprise dominante sur le marché automobile marocain. Les marques Dacia et Renault, détenues et exploitées par Renault, représentent respectivement 20 % et 17 % du marché. Renault exploite déjà une usine à Casablanca et l’augmentation de la production de cette nouvelle usine permettra à l’entreprise de maintenir sa part de marché au fur et à mesure que l’industrie automobile marocaine se développe.

Container bridge for exports to emerging and European markets

Cette installation répond cependant à un objectif bien plus important pour Renault que le simple contrôle du marché marocain. La zone industrielle de Tanger offre un certain nombre d’avantages significatifs pour les opérations industrielles. Avant tout, l’usine Renault est située à proximité du port de Tanger Med, permettant une expédition simple et efficace des marchandises. Ce port est situé dans une position géostratégique clé à l’intersection de l’Afrique et de l’Europe.

Renault prévoit d’exploiter l’emplacement de ce port, car il sera expédié vers l’Europe, la Turquie, l’Afrique et l’Amérique du Sud depuis Tanger. De plus, le port a développé un certain nombre de services logistiques et de post-traitement dédiés à l’industrie automobile, qui ajoutent une plus grande valeur aux opérations de Renault à Tanger.

En 2010, Renault employait 1 800 personnes au Maroc et les usines d’assemblage représentaient 1,4 % du total du Groupe, dont la production en 2007 était de 28 764 véhicules, soit 1 % du total du Groupe Renault. La production de Renault démarrée au Maroc en 2012 a produit 229 000 voitures en 2015. La capacité de production annuelle initiale de 170 000 modèles a considérablement augmenté pour atteindre 229 000 voitures en 2015 et atteint actuellement 400 000 véhicules par an.

“Aujourd’hui, nous atteignons le plein potentiel de cette usine, qui a une capacité de production de 400 000 véhicules par an et est devenue l’une des plus performantes au monde”, a déclaré Carlos Ghosn

Juste pour situer ses effets sur le plan financier, cette modernisation extravertie est une des causes de la perte de valeur de notre monnaie nationale, la raison de l’accroissement de la dette extérieure et une des causes directes du déficit des comptes courants, et la principale détermination du détournement de fonds public et un transfert des allocations budgétaires qui auraient servi a des investissements de nature et d’objectif social pouvant alléger la misère et la pauvreté ainsi que FAIRE PROGRESSER l’éducation et la santé au bénéfice des masses populaires marocaines.

Tanger, Maroc : 2015

Tanger en tant que site industriel de Renault a également permis de structurer le réseau de fournisseurs alimentant l’usine Renault mais aussi à l’export vers l’Europe et l’étranger. L’usine Renault a servi d’aimant pour ces équipementiers automobiles périphériques, non seulement au nord du Maroc, mais aussi à proximité et juste au nord de Casablanca, à Kénitra, où PSA Peugeot Citroën construit actuellement une usine à achever. 2019. Peugeot prévoit une capacité de production initiale de 90 000 voitures par an et 200 000 en 2022. Les véhicules Peugeot seront principalement destinés aux marchés africains.

Created October 26, 2018 – Said El Mansour Cherkaoui – El Jadida – Morocco and Oakland, California – USA

Par ces largesses financières, immobilières, fiscales et de rapatriements de profit ainsi que douanières accordées aux capitaux étrangers sont doublées d’un manque a gagner, le tout ajouté aux facilités octroyées aux créditeurs’étrangers pour l’accès aux emprunts qui en fin de compte ne servent qu’a un amortissement partiel du service de la dette extérieure et aux achats de produits pour la modernisation du Maroc,. Par ce subterfuge de transfert de valeurs fiduciaires et d’exploitation de ressources naturelles et humaines, on assiste en réalité a un kidnapping légal de ressources financières qui entraîne une prise en otage de tout programme social neutralisant ainsi toute orientation économique tant régionale que nationale ayant une portée “developpementaliste” du Maroc profond et populaire.

A travers cette toile d’araignée d’arrangements des affaires internationales, lors que les Hautes Élites Marocaines se construisent des réseaux au niveau des chaines globales du développement de leurs intérêts propres plaçant les membres de leurs familles en premier comme étudiants dans des universités et les hautes écoles étrangères (USA, Grande Bretagne et France) et dans les Groupe de Consulting les plus renommés ou des boites de consulting ayant été embauchées par/pour les services de l’Etat Marocain. La progéniture et la relève des Élites Marocaines conscientes de ses intérêts et du besoin d’assurer un heritage hermétique a toute défaillance d’ordre générationnel, s’octroient et s’offrent de la sorte des positions de courroie de transmission d’un savoir gestionnaire et d’un savoir-faire leur facilitant a la fois leur insertion professionnelle dans le circuit inter-corporatiste multinationale et servant de lien direct entre les grands groupes occidentaux et leurs investissements tant au Maroc que dans le reste de l’Afrique. C’est dans cette optique, que le Maroc se veut être en premier comme le Gateway de l’Afrique et le pont entre l’Europe et l’Afrique.

Aussi, ce n’est point seulement les Ministres et les partis politiques, c’est surtout la stratégie déclarée tout azimuts d’ordre et d’obédience libérale et ultra-libérale poursuivie et implantée comme un Tbendika en face des grands tenants du marché international et dont les effets est la vente tout ce qui a de la valeur a des grands groupes étrangers, y compris ce maudit Mazagan de mal-fortune et même le ramassage des poubelles etc etc pour ne citer que les aspects suicidaires et anti-morales, la liste non-exhaustive peut être lue dans la caricature suivante.

Aussi voila le TGV comment il est considéré de nos jours, comme fut dans le temps, l’avion supersonique Concorde. Le Maroc a servit de recyclage du TGV:

Jean Castex • Premier ministre chez République française

  • Trois cent quatre-vingts kilomètres à l’heure.
  • Il y a 40 ans, le TGV battait son premier record de vitesse.
  • C’est grâce aux cheminots que l’on voit sur ces images d’archives de la SNCF que nous pouvons traverser le pays en quelques heures.
  • Bon anniversaire et longue vie au TGV !

La Grande Vitesse du Changement dans la Continuité Subcapitaliste

Faire un Cadeau a Sarkozy et offrir une inauguration officielle a son remplaçant, le président français Emmanuel Macron est au Maroc pour inaugurer avec le roi Mohammed VI le 15 novembre 2018 la nouvelle liaison ferroviaire TGV entre Tanger et Rabat. Photo prise le 26 June, 2015, wagons du Train à Grande Vitesse TGV produit par Alstom est chargé sur un navire en partance pour Tanger, Maroc, au port de La Rochelle.

Réponse de Fernande Masclet – DRH chez CMLE

Il nous faut reconnaître qu’il y a 40 à 50 ans nos professionnels étaient hyper compétents mais ils ne se doutaient pas qu’après avoir donné de tels moyens, aux générations futures, celles-ci ne sauraient pas l’exploiter au mieux retards innombrables, suppressions de tgv non entretien des réseaux… C’est vrai qu’à l’heure du télétravail, ce bijou devient presque obsolète. Encore un bijou, un fleuron qui s’en ira car trop cher comme le France. Mais peut-être que les français n’ont et n’auront plus les moyens de l’utiliser bientôt, vu la baisse de leurs revenus, ni de l’entretenir à cause d’un coût prohibitif, ni de faire face à la concurrence que l’Europe lui impose… C’est ainsi qu’il partira ailleurs et il ne nous en restera qu’à le regarder passer comme nos vieux trains à vapeur que l’on restaure…

Said El Mansour Cherkaoui 28/2/2021

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